Courrier des lecteurs

Dans votre n°112, Chiara Chassiot, avocate d’origine italienne, déclare qu’elle a soigneusement évité les orientations trop faciles qui l’auraient conduite, par exemple, à « finir préparatrice en pharmacie ». Il existe certainement des métiers mieux rémunérés et avec des responsabilités plus conséquentes et valorisantes... En ce qui me concerne, j’aurais pu être avocat car j’en avais les capacités, mais j’ai choisi « la facilité » en travaillant chez un patron à quinze ans, en faisant cinq ans d’études à l’époque entre officine et école, et ensuite en passant un concours départemental pour entrer en pharmacie hospitalière. Cessons de dénigrer les métiers qui ne nécessitent pas un bac + 5!

Romain A., préparateur en pharmacie hospitalière à Grenoble (38)

Quel est l’objet de cette lettre?

Выберите один ответ:

a. Encourager les jeunes à travailler très tôt

b. Répondre aux personnes qui sous-estiment ceux qui ne font pas d’études supérieures

c. Comparer les métiers d'avocat et de pharmacien

d. Faire connaître le parcours classique d’un préparateur en pharmacie